A Bagdad, le 25 février – Journée de la colère irakienne - cinq mille personnes étaient rassemblées, non sans difficulté, place Tahrir, pour réclamer de meilleures conditions de vie, condamner la corruption et l’incurie des dirigeants et demander leur démission. Ils rendaient la double occupation du pays responsable de leur malheur, car pour la majorité d’entre eux, le régime instauré par les Américains n’est pas une démocratie, mais une « cleptocratie » ! Les Irakiens, c’est clair, exigent des élections (...)
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